Je me souviens de vous, des bons comme des mauvais moments passés avec vous durant ma vie jusqu’à votre mort respective. Vous me manquez terriblement, alors j’ai écris ce texte de poésie en votre mémoire. A la fin de votre vie Papa et Maman, je me souviens…
C’est sur que vous vous éloigniez de moi de plus en plus
Vous deveniez malheureusement votre propre inconnu
Vous ne pouviez pas échappés au silence du désespoir
Hélas, provoqué par le triste silence de votre mémoire
Malheureusement près de vous je me sentais perdue
Car bien sur souvent j’étais pour vous une inconnue
Puisque je ne faisais plus du tout partie de votre vie
Je n’étais plus pour vous deux, votre enfant chérie
Votre regard était hagard, effrayé et perdu
Comme il était souvent troublé et apeuré
En laissant parfois, une larme s’échappée
Dans un brouillard qui envahissait votre vue
Vous vous laissiez doucement tomber dans l’oubli
Laissant derrière vous, votre famille et vos amis (ies)
Dans un grand désarroi total rempli de tant de peines
Avec nos cœurs qui voulaient vous crier, on vous aime
Mais, souvenez-vous à ces moments là?, les moments de joies
Comme les moments de peine passée ensemble par le passé?
Non cela était perdu dans un coin de votre mémoire je crois
Bien que parfois cela refasse surface, vous étiez moins apeurés
Et moi, je vous voyez partir ainsi dans l’oubli un peu plus chaque jour
Par cette terrible maladie qu’est l’Alzheimer, nous anéantissant tous
Volant vos souvenirs, vos joies de vivre, comme les nôtres pour toujours
Volant ainsi notre papa et notre maman que nous aimions plus que tout
Moi qui ai tant de chose à vous dire, je voudrais vous présenter mon mari
Mais hélas vous n’êtes plus là, je n’ai que votre souvenir pour m’accrocher
Sans vous je me sens si désemparée, perdue, le cœur bien triste, voire aigri
J’aimerais pouvoir rire avec vous, vous parler, et sur mon cœur vous serrer
Je vous aimerais toute ma vie, mes chers parents, vous me manquez trop.
J’ai écris cette poésie de tout mon cœur, en votre souvenir, vous qui me manquez trop, dont le chagrin ne pourra s’effacer dans mon cœur, tellement un vide est en moi depuis votre départ. Votre fille Mireille dit Mimi.