Le vent qui précède à la tempête

Le vent souffle à n’en plus finir Les nuages du coup s’enfuirent Sauf, quelques gros oui bien sur Qui tombent en pluie sur la nature C’est ainsi que la tempête surgit Elle balaye tout sur son passage Le vent se mêlant ainsi à la pluie Quand soudain oui arrive l’orage Il n’est pas bon de mettre le nez dehors Car en plus il fait si froid et mieux encore La grêle survient avec force pour enrichir Cette tempête qui hélas, ne veut plus finir Et là le vent redouble d’effort menaçant Les nuages grossissent et deviennent noirs Alors l’orage ainsi s’accentue grandissant La pluie tombe de plus belle, tout devient noir.

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